Pôle de compétitivité : objectifs atteints
Au moment où le Gouvernement lance l’évaluation des Pôles de compétitivité, la filière équine peut s’enorgueillir de voir le sien répondre à la dynamique souhaitée par l’Etat : rapprocher les entreprises et les centres de recherche, assurer
la lisibilité de la compétitivité française sur le marché international, et développer la formation et l’emploi pour faire perdurer un savoir-faire d’excellence (service assuré par Equi-ressources et labellisé par le pôle).
Une niche économique
En réponse à ces objectifs et malgré la petite taille de ses entreprises, le Pôle de compétitivité de la filière équine a parfaitement assuré sa mission. En peu de temps, il a été à l’initiative de plusieurs partenariats qui ont permis à des entreprises de développer leur compétitivité à l’international.
Dans un secteur économique où l’on constate une forte croissance des échanges internationaux, les entreprises françaises se positionnent au mieux sur ces marchés et affichent des taux de progression de leurs chiffres d’affaires de plus de 10 % par an.
Le projet de l’entreprise EDHYA (PME spécialisée dans la diététique équine) illustre le potentiel économique de nos entreprises, riches en idées et en innovations, sur les marchés internationaux. « Avec l’appui du Pôle de compétitivité, confie Yves Dulin, PDG de EDHYA, j’ai pu monter un projet d’innovation avec la meilleure équipe de recherche française dans mon domaine. Et grâce aux pistes que le pôle m’a ouvertes à l’export, notamment aux Emirats Arabes, cela devrait me permettre de multiplier par trois mon chiffre d’affaires, soit une croissance de plus de 1 million d’euros avec des prévisions d’embauche. »
Synergie entre les entreprises et la recherche
L’objectif premier du Pôle de compétitivité est d’organiser une synergie rapprochant les entreprises et les centres de recherche et de formation. Des projets innovants voient le jour et permettent d’intensifier les diverses collaborations : le projet Sequisol réunissant l’Unité mixte de recherche de l’Ecole nationale vétérinaire et l’INRA et deux PME; le projet de recherche fondamentale Genequin qui s’appuie sur le génome du cheval connu depuis février 2007 avec des équipes de Liège (Belgique), de Toulouse et le Génopole d’Evry ; ou encore un projet en cours de développement entre un laboratoire de l’Université de Caen et deux PME, projet qui vise à établir de nouvelles stratégies thérapeutiques moléculaires et cellulaires pour le cheval.
« Avec la mise en place du pôle, l’Université de Caen a multiplié ses relations avec le secteur équin, explique sa présidente Josette Travert : projets de recherche, innovations avec des entreprises, formations et relations internationales... »
Positionné sur un secteur économique en plein essor, le Pôle de compétitivité tient bien là sa place de fédérateur et de moteur de développement. A l’initiative d’une vraie dynamique entre les petites entreprises et les centres de recherche, il permet à la France de se placer comme leader sur un marché international très porteur.
Une niche économique
En réponse à ces objectifs et malgré la petite taille de ses entreprises, le Pôle de compétitivité de la filière équine a parfaitement assuré sa mission. En peu de temps, il a été à l’initiative de plusieurs partenariats qui ont permis à des entreprises de développer leur compétitivité à l’international.
Dans un secteur économique où l’on constate une forte croissance des échanges internationaux, les entreprises françaises se positionnent au mieux sur ces marchés et affichent des taux de progression de leurs chiffres d’affaires de plus de 10 % par an.
Le projet de l’entreprise EDHYA (PME spécialisée dans la diététique équine) illustre le potentiel économique de nos entreprises, riches en idées et en innovations, sur les marchés internationaux. « Avec l’appui du Pôle de compétitivité, confie Yves Dulin, PDG de EDHYA, j’ai pu monter un projet d’innovation avec la meilleure équipe de recherche française dans mon domaine. Et grâce aux pistes que le pôle m’a ouvertes à l’export, notamment aux Emirats Arabes, cela devrait me permettre de multiplier par trois mon chiffre d’affaires, soit une croissance de plus de 1 million d’euros avec des prévisions d’embauche. »
Synergie entre les entreprises et la recherche
L’objectif premier du Pôle de compétitivité est d’organiser une synergie rapprochant les entreprises et les centres de recherche et de formation. Des projets innovants voient le jour et permettent d’intensifier les diverses collaborations : le projet Sequisol réunissant l’Unité mixte de recherche de l’Ecole nationale vétérinaire et l’INRA et deux PME; le projet de recherche fondamentale Genequin qui s’appuie sur le génome du cheval connu depuis février 2007 avec des équipes de Liège (Belgique), de Toulouse et le Génopole d’Evry ; ou encore un projet en cours de développement entre un laboratoire de l’Université de Caen et deux PME, projet qui vise à établir de nouvelles stratégies thérapeutiques moléculaires et cellulaires pour le cheval.
« Avec la mise en place du pôle, l’Université de Caen a multiplié ses relations avec le secteur équin, explique sa présidente Josette Travert : projets de recherche, innovations avec des entreprises, formations et relations internationales... »
Positionné sur un secteur économique en plein essor, le Pôle de compétitivité tient bien là sa place de fédérateur et de moteur de développement. A l’initiative d’une vraie dynamique entre les petites entreprises et les centres de recherche, il permet à la France de se placer comme leader sur un marché international très porteur.
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