TDSO à Saint-Lô : satisfecit général
CSO Saint-Lô (50) 4 mars Rencontre avec Antoine Courpied, de l’Association des écuries de concours (AEC) de Basse-Normandie, en charge de l’organisation le mardi 4 mars au CPE à Saint-Lô de la journée test du Test de disponibilité au saut d’obstacles (TDSO) proposé
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par la SHF aux chevaux de 4 ans.
Quel était le but de cette journée ?
L’Adecno et l’AEC se sont associées sur cette journée d’entraînement afin de permettre aux professionnels de familiariser leurs 4 ans avec la nouvelle épreuve de TDSO, désormais obligatoire. Les cavaliers professionnels normands de l’AEC avaient tous reçu un courrier les invitant à venir participer sur la piste mise en place spécialement par Jean-Paul Lepetit.
Comment cette journée s’est-elle déroulée ?
Soulignons tout d’abord que les couples présents se sont parfaitement imprégnés de l’esprit de ce nouvel exercice. Même les plus réservés ont convenu de son intérêt. Sur le terrain, notre idée était de créer les conditions pour que les 4 ans puissent réaliser un entraînement en condition de concours, que les cavaliers puissent appréhender les points susceptibles de poser des problèmes et qu’ils puissent y remédier en répétant une ou deux fois l’exercice. Chevaux et cavaliers ont parfaitement exécuté ce test.
Tout est une question de détails, sur l’allure à tel ou tel endroit, sur le respect des zones... une succession d’interrogations et de questions-réponses qui à elle seule justifiait amplement l’organisation d’une telle journée. En fin de journée, tous les participants y voyaient clair sur les modalités de déroulement de l’épreuve.
Quelle sera l’organisation du jury ?
Des aménagements spécifiques au TDSO devront en effet être mis en place, avec une équipe de juges qui devra tourner et se relayer régulièrement. Juger un TDSO est radicalement différent d’un parcours classique. Là, il faut rester très concentré et observer très rigoureusement le cheval du poteau de départ jusqu’à l’arrivée, et être en mesure d’évaluer s’il y a faute ou pas, si le contrat est respecté, si l’allure est respectée dans la zone.
Les cavaliers ont aussi apprécié de pouvoir poser des questions au jury, ce qui a permis de valider que les deux parties, jury et cavaliers, avaient une approche identique de la façon de noter d’éventuelles fautes.
Quel est votre avis sur cette initiative de la SHF ?
Cet exercice sera bénéfique pour favoriser la commercialisation des chevaux en direction des amateurs notamment. Le dispositif est jugé globalement abordable et ne nuira pas aux bons chevaux. En montant cette journée, nous voulions aussi attirer l’attention des cavaliers sur l’importance de cet exercice qui nécessite beaucoup de concentration et de rigueur. Nous ne sommes pas inquiets, nous allons pratiquer, répéter et nous entraîner pour qu’un bon 4 ans puisse trouver une source de valorisation dans cet exercice et que ceux qui les observent du bord de la piste y trouvent un intérêt.
Quel était le but de cette journée ?
L’Adecno et l’AEC se sont associées sur cette journée d’entraînement afin de permettre aux professionnels de familiariser leurs 4 ans avec la nouvelle épreuve de TDSO, désormais obligatoire. Les cavaliers professionnels normands de l’AEC avaient tous reçu un courrier les invitant à venir participer sur la piste mise en place spécialement par Jean-Paul Lepetit.
Comment cette journée s’est-elle déroulée ?
Soulignons tout d’abord que les couples présents se sont parfaitement imprégnés de l’esprit de ce nouvel exercice. Même les plus réservés ont convenu de son intérêt. Sur le terrain, notre idée était de créer les conditions pour que les 4 ans puissent réaliser un entraînement en condition de concours, que les cavaliers puissent appréhender les points susceptibles de poser des problèmes et qu’ils puissent y remédier en répétant une ou deux fois l’exercice. Chevaux et cavaliers ont parfaitement exécuté ce test.
Tout est une question de détails, sur l’allure à tel ou tel endroit, sur le respect des zones... une succession d’interrogations et de questions-réponses qui à elle seule justifiait amplement l’organisation d’une telle journée. En fin de journée, tous les participants y voyaient clair sur les modalités de déroulement de l’épreuve.
Quelle sera l’organisation du jury ?
Des aménagements spécifiques au TDSO devront en effet être mis en place, avec une équipe de juges qui devra tourner et se relayer régulièrement. Juger un TDSO est radicalement différent d’un parcours classique. Là, il faut rester très concentré et observer très rigoureusement le cheval du poteau de départ jusqu’à l’arrivée, et être en mesure d’évaluer s’il y a faute ou pas, si le contrat est respecté, si l’allure est respectée dans la zone.
Les cavaliers ont aussi apprécié de pouvoir poser des questions au jury, ce qui a permis de valider que les deux parties, jury et cavaliers, avaient une approche identique de la façon de noter d’éventuelles fautes.
Quel est votre avis sur cette initiative de la SHF ?
Cet exercice sera bénéfique pour favoriser la commercialisation des chevaux en direction des amateurs notamment. Le dispositif est jugé globalement abordable et ne nuira pas aux bons chevaux. En montant cette journée, nous voulions aussi attirer l’attention des cavaliers sur l’importance de cet exercice qui nécessite beaucoup de concentration et de rigueur. Nous ne sommes pas inquiets, nous allons pratiquer, répéter et nous entraîner pour qu’un bon 4 ans puisse trouver une source de valorisation dans cet exercice et que ceux qui les observent du bord de la piste y trouvent un intérêt.
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